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Surface 2025 : Microsoft révolutionne ses PC avec l’IA, ultra-fins et 100 % USB-C – impossible de résister !

Google vient d’annoncer que son assistant d’intelligence artificielle Gemini sera désormais accessible aux enfants de moins de 13 ans, à condition que leurs parents activent un compte supervisé via Family Link. Cette ouverture marque une nouvelle étape dans la démocratisation de l’IA, mais suscite également de nombreuses interrogations sur les impacts psychologiques et la protection des données des plus jeunes.

Activation via Family Link et notifications parentales

Pour autoriser un enfant à utiliser Gemini, les parents doivent :

À chaque nouvelle utilisation, les parents peuvent être alertés et modifier les réglages de l’outil ou décider de le désactiver complètement.

Usages éducatifs et créatifs pour les enfants

Gemini offre plusieurs possibilités adaptées aux jeunes utilisateurs :

L’interface conviviale permet à l’enfant de formuler ses questions simplement, tout en cultivant son sens de la curiosité.

Les recommandations de Google pour un usage sûr

Consciente des limites des algorithmes, l’entreprise précise :

Google encourage les parents à accompagner les enfants lors des premières interactions et à développer leur esprit critique face aux suggestions de l’IA.

Protection des données et formation des modèles

Un porte-parole de Google a assuré que :

Malgré ces précautions, un avertissement indique qu’un mineur pourrait rencontrer un contenu inapproprié, même filtré, lors de ses requêtes.

Une stratégie pour conquérir de nouveaux publics

Cette initiative s’inscrit dans la volonté de Google de renforcer sa position face à la concurrence, notamment Microsoft avec Bing Chat et OpenAI avec ChatGPT. En ouvrant Gemini aux plus jeunes :

Dans un marché de l’IA générative en pleine effervescence, chaque adoption de longue durée constitue un atout stratégique.

Les mises en garde des experts en psychologie

Des spécialistes alertent sur les risques potentiels :

Un document de l’Unicef souligne la nécessité de recherches sur l’impact de ces technologies sur le développement des enfants.

Appels à la régulation et à la vigilance

Un rapport de l’Université d’Oxford met en garde contre une IA « surhumaine » capable de simuler des émotions et de générer des deepfakes. Les principaux axes recommandés :

Les pouvoirs publics, les ONG et les acteurs technologiques sont appelés à collaborer pour protéger les droits et la santé mentale des enfants.

Statistiques d’usage et comportements des adolescents

Selon une enquête de Common Sense Media :

Ces chiffres illustrent un engouement croissant pour l’IA parmi les jeunes, souvent sans encadrement adéquat.

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